De plus en plus d'étudiants se réorientent après une, voire plusieurs années d'études au sein d'un même cursus. La faute peut-être au système en place, ou à une augmentation des possibilités… Les adultes s'y mettent aussi, surtout ceux nés dans les années 80 et aujourd'hui trentenaires. Alors quelles sont les questions à se poser et comment s'y prendre ? Cet article essaye de vous apporter des pistes de réflexion.
Les questions qui font gagner du temps
Pour être sûr.e de ne pas s'embarquer dans un projet qui ne nous ressemblerait pas, ou qui ne nous apporterait toujours pas l'épanouissement professionnel à la quête duquel nous nous lançons, il convient de se poser les bonnes questions. C'est-à-dire celles qui font gagner du temps, parce qu'elles ciblent le cœur du problème. Ces questions concernent les points positifs et négatifs de notre situation actuelle, ce que nous aimerions y changer, les enjeux, les contraintes, ce que nous pouvons espérer y gagner et ce que nous risquons d'y perdre. En tirant des enseignements de notre parcours, nous éviterons la répétition des écueils déjà traversés.
Reprendre des études après 30 ans ?
Nombreux sont les adultes qui retournent sur les bancs de la fac avec plaisir, tant leur enthousiasme pour leur nouvelle vie les booste. Pour ceux d'entre nous qui hésiteraient, par « peur » de se retrouver avec des grappes de jeunes adultes pas encore confrontés à la vie professionnelle réelle, nous pouvons nous tourner vers des organismes de formations destinés à une cible adulte et acceptant des candidats aux profils les plus divers. Point F met un point d'honneur à respecter cet engagement. Vente, services à la personne, beauté, secrétariat, petite enfance… les secteurs accessibles regroupent de nombreux secteurs d'activité et permettent une réorientation optimale. Les qualifications acquises durant la formation étant reconnues (bien se renseigner à ce sujet avant de s'engager !), le retour à l'emploi et le début d'une autre vie ne sont peut-être plus si loin…